Éditions Espaces 34

Hors cadre

L’espace littéraire se transforme. Les écritures d’aujourd’hui demandent à être accueillies au-delà des zones définies par des termes qui enferment. L’important n’est pas l’identification catégorielle mais la pulsion qui préside à la langue et à la pensée et qui donne à la littérature ses multiples formes. Cette collection est ce lieu pour des voix, des fictions qui appellent la parole et le corps. Un trouble dans les genres, des forces en mouvement, du désir, de l’audace, de l’invention.

L’espace littéraire se transforme. Les écritures d’aujourd’hui demandent à être accueillies au-delà des zones définies par des termes qui enferment. L’important n’est pas l’identification (…) (Lire la suite)

Comment dire la musique ? Comment dire d’où vient la musique et là où elle va ? Certains soirs la musique est sur scène. Cette musique ne vient pas de nulle part. Elle vient d’un homme. D’un (…) (Lire la suite)

Des jeunes femmes. Elles ont des vies singulières, nées dans l‘adversité, bordées d‘épreuves. Le monde, la société, l‘époque n‘y sont pas pour rien. Elles n‘ont pas l‘habitude de parler d‘elles, (…) (Lire la suite)

Comment éprouver le sentiment d’être en vie, le préserver, en garder la beauté ? C’est ce qu’interroge Claudine Galea dans un texte à la lisière des genres qui creuse la matière-même de (…) (Lire la suite)

Le ressac de la mer étreint le mouvement de Debout, la joie. Son flux caresse, lamine, charrie, creuse et polit, emportant le lecteur dans une valse des pronoms, des voix et des identités. Au (…) (Lire la suite)

L’ombre de la Méditerranée plane sur ce poème symphonique, une Méditerranée actuelle mais aussi projetée dans 650 000 ans lorsque l’eau, l’eau de tous les dangers, aura disparu. Un chœur (…) (Lire la suite)

Tandis que des habitations se vident, des travaux de démolition/reconstruction sont en cours afin de réhabiliter un ilot urbain. Mais un homme résiste. Il ne veut pas abandonner sa maison, ses (…) (Lire la suite)

Pendant l’extermination, ceux qui maintenant sont morts se sont soulevés, ils ont écrit, enterré leurs récits, caché les livres : leur résistance face à la déshumanisation. Pour demeurer vivants. (…) (Lire la suite)