Traducteurs et préfaciers
Né en 1972, historien de formation, après avoir été enseignant, Olivier Favier est devenu traducteur de l’italien en 2002. Il s’est spécialisé dans la littérature de la fin du XIXe siècle et le théâtre contemporain.
Dans ce domaine, il a traduit, outre Radio clandestine, Mémoire des fosses ardéatines d’Ascanio Celestini, Corps d’état, l’Affaire Moro de Marco Baliani, avec la collaboration de la Maison Antoine Vitez, Centre international de la traduction théâtrale.
Il a également coordonné deux numéros (12 et 13) de la revue Frictions sur le théâtre-récit italien en 2008.
Parmi ses traductions disponibles : Sur l’Océan (Payot, 2004) et Le livre est sorti (Farrago, 2005) d’Edmondo de Amicis ; Giacinta (Farrago, 2006) de Luigi Capuana ; Le Disparu de Marburg (Rivages, 2006) de Nuto Revelli ; Le Jardin des justes, De la liste de Schindler au tribunal du bien (Payot, 2007) de Gabriele Nissim ; Pour Violon seul (Éditions de l’éclat, 2007) de Aldo Zargani ; Poussière, suivi de Simplicité (Alidades, 2008) de Carlo Bordini.