Éditions Espaces 34

Théâtre contemporain

Textes d’aujourd’hui pour le théâtre. Ces publications sont régulièrement soutenues par la Région Languedoc-Roussillon, et depuis 2003 par la SACD.

Grammaire des mammifères

ISBN : 2-84705-013-2
13x21 cm, 128 p., 12,50 €
Ouvrage publié avec le soutien de l’Association Beaumarchais et avec le concours du Centre national du livre

ISBN : 978-2-84705-091-2, 2è édition,
128 p., 13,50 €

Distribution variable,
à partir de six comédien(ne)s

2005 (1re éd.), 2012 (2e éd.)

La Grammaire des mammifères se présente comme un ensemble de phrases, sans personnages, qui travaillent la question de la représentation (de soi, d’un spectacle, des rapports humains et sociaux, de la vie psychique, pulsionnelle...). D’innombrables fragments d’histoires, parfois à compléter, s’enchevêtrent, partant du corps humain pour aller vers le corps social.

Pour le comédien, ce sont autant d’invitations à jouer mais surtout à questionner son effort. Le public, quant à lui, est ouvertement sollicité dans sa présence et son statut. Qui est regardé, que vient-on voir, ou montrer, qui participe ?

Au fil du texte, un homme apparaît, qui n’appartient à aucune fiction, mais se trouve pris dans un dispositif qui l’oblige à toujours plus d’initiative personnelle, à la démonstration sans fin de ses compétences, à la libre circulation de ses pulsions. Se dessine alors, peut-être, la figure de l’homme de notre temps.

Distinctions

Grammaire des mammifères a bénéficié d’une aide à l’écriture de l’Association Beaumarchais (SACD) en 2003.


La pièce a reçu l’Aide à la création d’œuvres dramatiques de la DMDTS (Ministère de la culture) en 2004.


La pièce a reçu une mention du jury au Grand prix de littérature dramatique 2006.


Pièce sélectionnée dans le Carnet de lecture d’Aneth, n°10.

Extraits de presse

« Ce texte, objet unique, ne renvoie à aucun schéma théâtral connu, sinon qu’il trouve des résonances dans l’œuvre de quelques singuliers de l’art tels Marcel Duchamp ou Valère Novarina, mais aussi dans les écrits de Handke dont il peut intellectuellement se réclamer [...] Objet sérieux et bouffon, irritant autant que passionnant, ce texte doit être appréhendé tel qu’il nous est livré : une boîte de Pandore dont on ne voit ni le fond ni les côtés, et dont on peut tirer à l’envie le pire et le meilleur. Une démarche qui se fait trop rare pour que l’on passe à côté en baissant la tête. »

[Association Beaumarchais (SACD), janvier 2006]


« William Pellier écrit aujourd’hui, c’est un auteur contemporain, de la veine colérique. Dans Grammaire des mammifères, il propose ni plus ni moins d’observer les humains à la manière qu’ont les entomologistes d’étudier les insectes. Rituel social, comportements alimentaires, sexualité, quête spirituelle et engagement politique : tout y passe, de l’exploration du corps humain à l’exploration du corps social. »

[Thierry Bordereau, compagnie Locus solus, octobre 2008]


« Texte étonnant, à la fois dense et aéré, matrice et matériau, éminemment musical, Grammaire des mammifères offre aux comédiens d’explorer des états de l’être et de la communication. Dans un mouvement jusqu’au boutiste de « mise à plat d’un système », ces mots sont de l’auteur, la Grammaire est un génial outil de théâtre élaboré avec des acteurs et pour eux.
L’expérimentation a quelque chose de vertigineux pour les mammifères humains qui la mènent (l’exécutent ?) »

[…491, janvier 10, n° 155]


« Entre Six personnages en quête d’auteurs et Outrage au public, Grammaire des mammifères explore la veine d’un théâtre qui prend plaisir à interroger le rituel théâtral et la représentation sous toutes ses formes.
Sans cesse piégés, sans cesse pris dans de nouveaux chausses-trappes, six comédiens jouent à construire et à déconstruire sous nos yeux les situations du texte : tout y passe, mystère de soi, sexualité, culture, travail, divertissement…

La mise en scène très rythmée de Thierry Bordereau, portée par la demi-douzaine de comédiens épatants de la compagnie Locus Solus, n’hésite jamais à prendre le large pour exploiter tous les possibles. Une verve contagieuse. »

[Luc Hernandez, libelyon.fr, janvier 2010]


« Grammaire des mammifères questionne tout du long le groupe et l’individu, il décortique le corps humain et le corps social, il nous invite à réfléchir joyeusement à l’idée que nous avons de la "représentation", représentation théâtrale, mais aussi de soi ; c’est une invitation à inventer le "jeu" et le "je"… »

[Jean-François Bourrinet, Limoges, 1er avril 2011]


« Le spectateur est ainsi confronté au spectacle d’une économie de la libido et de la circulation du bouc émissaire subséquent. Il est appelé dans le contexte de ce spectacle, par une entourloupe prodigieuse, à obéir au petit doigt et à l’œil et à trouver les voies d’une servitude volontaire. Faire jouer au public son rôle… de public, et au spectateur le sien chargé de jouir et de réfléchir.

Tout sauf satireGrammaire des mammifères, dans cet appel au dépassement de la situation théâtrale, se présente comme une utopie démocratique, un questionnement sur la chose en commun, celle d’une joie de vivre partagée. Comme une anti outrage au public.

[Jean Grapin, Webthea, le magazine du spectacle vivant, 11 juillet 2011]


« La Grammaire des mammifères est un objet théâtral surréaliste. Le mouvement Dada en aura fait son miel. William Pellier a écrit un texte très particulier, sans personnages, sans action. C’est un fragment littéraire fait d’histoires qui ne se finissent pas, de situations incontrôlables qui sollicitent en permanence le spectateur. »

[Stéphane Capron, Scèneweb.fr, l’actualité du spectacle vivant,27 juillet 2011]


« La Grammaire des mammifères est un peu la synthèse de tout ce que j’avais écrit avant. Je ne voulais pas écrire une histoire, mais provoquer un état chez le spectateur. Le texte s’adresse au public, il travaille sur la relation, produit une certaine énergie, propose une promenade en barque où il n’y a pas de rames et on ne sait pas où on va ».

[William Pellier, Midi Libre, n° 24158, 27 décembre 2011]


« Culture, politique, spiritualité, racisme, sexualité… rien ne sera esquivé dans la [Grammaire des mammifères créée cette semaine au point d’eau d’Ostwald par le « Talon rouge ». Comme un séminaire décalé sur ces drôles de bêtes que nous sommes.

(…) la langue très précise laisse la part belle à un grain de folie décalé teintée d’absurde. Comme un corset dont déborderait la chair. »

[Véronique Leblanc, Dernières nouvelles d’Alsace, nov-déc 2012]


« Composé de fragments d’histoires qui s’enchevêtrent, sans personnages mais avec des protagonistes numérotés, ce texte offre une forme théâtrale insolite.

(…) Le public assiste alors à une sorte de conférence donnée par quatre grammairiens qui font défiler différentes règles afin de comprendre l’homme.
On part du corps humain, des os, du masque, de la conscience, pour aller vers le corps social. La recherche se veut scientifique, mais au fur et à mesure, des règles nouvelles apparaissent, l’instinct et l’inconscient venant télescoper les premières. confie Catherine Javaloyès.

Ces expériences et ce déraillement progressif se révèlent dans des codes de langage qui ne sont pas loin de ressembler à des formules mathématiques et autre combinaisons ésotériques. Le texte est une partition que l’auteur donne à travailler, il y a des jeux sur les sonorités, sur le langage, des passages en choralité, des formes de discours hypnotique ou des plaidoiries. Il offre aussi des moments d’improvisation, pour laisser voir ce qu’il y a derrière le personnage, c’est-à-dire le comédien lui-même. »

[Dorothée Lachmann, Poly, 154, décembre 2012]


« In fine, la pièce de William Pellier s’avère être aussi une réflexion radicale sur le théâtre, sur les formes qu’il peut prendre, sur le récit, les histoires qu’il peut raconter, sur ce qu’il aurait à nous dire aujourd’hui, ou encore sur le rapport à réinventer avec le public. (…)

Une réflexion souvent au second degré, parfois ironique, mais toujours pertinente et profonde.

Cela fait plus de trente-cinq ans que William Pellier écrit des pièces de théâtre, qu’il est publié et qu’il reçoit des Prix… C’est l’un de nos auteurs les plus originaux. »

[Chantal Boiron, Ubu, novembre 2021]


« William Pellier n’est pas un doux farfelu, mais quelqu’un de très sérieux qui travaille la matière scripturale pour mieux approcher le mystère du théâtre, car la visée est bien finalement celle-là : elle se passe sur le plateau. (…)

Grammaire des mammifères est avant tout une formidable machine à jouer, une machine aux mille éclats. »

[Jean-Pierre Han, Frictions, 4 novembre 2021]


« Le metteur en scène et directeur du CDN de Tours Jacques Vincey réalise, en terme de subversivité et de réjouissances, tout ce que cette pièce iconoclaste tient en promesses.

Sa lecture, soutenue par le chant de Vanasay Khamphommala et la chorégraphie de Thomas Lebrun, est servie par de jeunes interprètes remarquables.

Vraiment épatant. Et tellement réjouissant. (…)

Texte transgressif sans appel. »

[Marie-Emmanuelle Dulous de Méritens, La Terrasse, 4 novembre 2021


« Ce spectacle ne se raconte pas il se vit. (…)

Sous le couvert de ne rien nous raconter, il s’en dit des choses. (…) Le texte est dense, on s’y promène, on s’y perd, on s’y retrouve. »

[Marie-Céline Nivière, L’œil d’Olivier, 6 novembre 2021]


« Cette pièce où les mots semblent surgir dans de fulgurances bégayantes et de subtiles enchevêtrements, où les phrases se succèdent dans une logorrhée savamment orchestrée et dans un processus apparemment chaotique mais totalement maitrisé, cette pièce est un magnifique miroir de notre condition humaine, dans lequel nos pulsions, nos conditionnements en tous genres nous sont renvoyés à la figure. (…)

Un très grand moment de théâtre, donc.
Qui vous prend aux tripes.
Qui vous évoque un sujet complexe, étrange et finalement fascinant : vous-même… »

[Yves Poey, De la cour au jardin, 7 novembre 2021]


« Alors sous nos yeux situés de l’autre côté se construit un jeu de plateau, de société, de rôle. On aurait dit un exercice de style méta mais c’est aussi bien plus, c’est une petite fièvre sacrée en guise d’ode à la scène, aux acteurs, aux acteurs sur la scène. »

[Mathias Daval, Io, 7 novembre 2021]


« Une écriture riche et singulière que l’on s’étonne de si peu connaître. »

[Anaïs Heluin Sceneweb, 7 novembre 2021]


« Projet philosophique déroutant (…)

Partition d’une absolue liberté. »

[Jean-Pierre Léonardini, L’Humanité, 8 novembre 2021]


« Un texte qui ne ressemble à aucun autre et qui donne du grain à moudre aux acteurs. A la fois bourré à craquer et plein de tous, très écrit et voué à l’improvisation, il explore les codes théâtraux en le mettant en lumière comme jamais. (…)

[Christine Friedel, Théâtre du blog, 9 novembre 2021]


« De l’humour, de la caricature, de la dérision avec des numéros de haute voltige verbale qui illustrent autant la bêtise que l’intelligence de la comédie humaine.

Les folles outrances de l’homme redevenu mammifères, dévorant sa propre logique de primate égaré d dans les verts feuillages d’une forêt plus très vierge. »

[Chantiers de culture, 9 novembre 2021]


« Ce spectacle offre un même temps qu’un jeu de massacre éminemment jubilatoire une belle leçon d’humanité. »

[Sarah Franck, Art chipe.fr, 10 novembre 2021]


« Jacques Vincey dans un nouvel opus se penche sur ce qui depuis longtemps occupe son théâtre et qui serait l’articulation entre la chair et la parole.

Dans une dialectique irrésolue et donc lumineuse entre la scène et le public, lui et sa troupe de magnifiques comédiens nous promènent pour notre plus grand bonheur. (…)

Le propos, s’il existe seulement, consiste à déplier la grammaire des mammifères, c’est-à-dire à comprendre pour le décrire, comment le langage traverse la chair pour l’animer, autant que pour la contraindre. (…)

La pièce d’exception est joyeuse, elle revigore et galvanise. »

[David Rofé-Sarfati, Toute la culture.com, 12 novembre 2021]


« Les personnages font du bien parce qu’ils osent tout. (…) les scènes sont jubilatoires…

Rien de politiquement correct dans ces attitudes mesquines que l’on a tous ressenti. Ce faisant, ce spectacle, pirandellien et d’une irrésistible drôlerie, glisse de nouveau de la scène à la salle.

Le texte de Grammaires des mammifères, absurde et foisonnant, est un défi. »

[Marjorie Bertin, Transfuge, 12 novembre 2021]


« C’est un spectacle constamment réjouissant, alerte, surprenant, joliment déstabilisant et souvent très drôle. Le groupe du JJRC faisant front, en bloc, avec un bel esprit de troupe et une pléiade de talents. (…)

William Pellier cite Tarkos, Wittgenstein et même Aristote. Il aime s’amuser avec la logique des choses. (…)

Notez la ponctuation très personnelle (…) Parfois la langue se désagrège, des voyelles, des consonnes tombent au champ-chant d’honneur. (…)

Le fait est qu’il est encore mieux de lire le texte de Grammaire des mammifères après l’avoir entendu et vu, porté par le groupe GTRC. William Pellier parle de ce texte comme d’une ode au cerveau droit lequel s’occupe de choses plus berzingues que la gauche. Et il ajoute : J’ai envie d’écrire un théâtre qui ne raconte rien mais qui est une expérience.

Et quelle expérience ! Jouissive autant que ludique. »

[Jean-Pierre Thibaudat, Mediapart, 15 novembre 2021]


« Ce texte est d’une richesse folle, à la fois formellement et sur le fond. En même temps que les modes de représentation théâtraux, il déconstruit, en profondeur, nos représentations sociales et intimes, voire sexuelles. (…)

C’est aussi une bombe à fragmentation poétique, un concentré de rage qui s’exprime à travers le langage et pulvérise nos habitudes avec une énergie dionysiaque.

Cette quête désespérée (…) est en même temps chargée de beaucoup d’humour et de rire. »

[Jacques Vincey, Théâtral magazine, novembre-décembre 2021]


« Texte extraordinaire (…) lu et relu maintes fois, manié et remanié.

Son auteur n’a pas inventé une histoire pour le théâtre, n’a pas distribué de rôles, mais a conçu une déflagration de mots, de phrases, de situations (…) Jubilatoire ! »

[Véronique Giraud, Naja21.Com, 4 décembre 2021]

Le texte à l’étranger

Pièce traduite en italien par Flavio Polizzi et publiée aux éditions Angolo Manzoni en novembre 2011.

Vie du texte

La pièce a fait l’objet d’une Encre fraîche (travail d’exploration sur un texte en cours d’écriture) par les comédiens d’À Mots découverts, dirigés par Brice Beaugier, Théâtre de Paris-Villette, en 2004.


Lecture par À Mots découverts lors des Mardi midis des textes libres, Théâtre du Rond-Point, en 2004.


Lecture à La Chartreuse par l’auteur lors des XXXIe Rencontres d’été, le 15 juillet 2004.


Lecture lors de la fête du livre de Cuers, organisée par la Bibliothèque Armand Gatti, le 16 octobre 2004.


Lecture d’extraits par Pierre Germain et William Pellier, à la Médiathèque de Vaise, Lyon, le 12 mai 2006.


Spectacle d’extraits de Grammaire des mammifères et Outrage au public de Peter Handke par la compagnie Public chéri, mise en scène Olivier Coulon-Jablonka et Régis Hébette, Théâtre L’échangeur de Bagnolet (93), 7 juin 2008.


Spectacle (extraits) par la compagnie Locus solus, mise en scène de Thierry Bordereau, Théâtre de Givors (69), 24 octobre 2008.

Création dans une mise en scène est de Thierry Bordereau, plateforme Locus Solus, avec Réjane Bajard, Marijke Bedleem, Sophie Barboyon, Pierre Germain, Christian Pageault, Thierry Vennesson, au Théâtre Les Ateliers, à Lyon, du 12 au 22 janvier 2010.

Et dans la suite de cette création
— au Centre Théo Argence, St Priest (69), le 29 janvier 2010
— au Théâtre de la Tête noire, à Saran, le 23 février 2010
— au Théâtre d’Arras, le 5 mars 2010
— à La Comédie de Saint-Etienne-Centre dramatique national, du 9 au 13 mars 2010

Reprise de la création dans une mise en scène est de Thierry Bordereau, plateforme Locus Solus, avec Réjane Bajard, Marijke Bedleem, Sophie Barboyon, Pierre Germain, Christian Pageault, Thierry Vennesson,
— au Théâtre Les Ateliers, à Lyon, du 11 au 19 janvier 2011.
— au Théâtre Jean Vilar de Bourgoin-Jallieu, le 31 janvier et le 1er février 2011
— au Théâtre de la Manufacture, Festival d’Avignon, du 8 au 28 juillet 2011.

Reprise de la création 2012-2013 dans une mise en scène est de Thierry Bordereau, plateforme Locus Solus,
— Théâtre de la mauvaise tête, Marvejols, 9 octobre
— Théâtre de Coutances (50), 15 janvier
— L’atelier à spectacle, Vernouillet (28), 16 janvier
— Théâtre de Brétigny (91), 19 janvier
— Maison Folie Beaulieu, Lommé (59), 25 janvier

Reprise de la création en 2016-2017
— Théâtre de l’Echangeur, Bagnolet, du 26 au 30 novembre 2016.
— Théâtre de Châtillon (92), le 3 mars 2017.
— Théâtre centre culturel Aragon, Oyonnax (01), le 6 avril 2017.


Nouvelle création dans une mise en scène de Luc Sabot, dans le cadre du Chœur du Théâtre de Clermont l’Hérault, le 10 décembre 2011.


Nouvelle création par la compagnie Le Talon rouge (Strasbourg), dans une mise en scène de Catherine Javaloyès, avec Gaël Chaillat, Blanche Giraud-Beauregardt, Jean-Philippe Labadie, Pascale Lequesne, le 29 novembre 2012 à Ostwald.

Tournée de création 2012-2013
— TAPS, Strasbourg, du 7 au 9 décembre
— Espace Rohan, Saverne, 5 février
— Relais culturel, Ernstein, 7 février


Lecture à l’occasion de la première édition des Horizons du texte, La Baignoire, dirigée par Jean-Marc Bourg, avec les élèves de l’ENSAD, à l’ENSAD, le 5 avril 2014.


Création dans une mise en scène de Jacques Vincey, en complicité avec Vanasay Khamphommala, dramaturge et chanteuse et Thomas Lebrun, chorégraphe, avec Alexandra Blajovici, Garance Degos, Marie Depoorter, Cécile Feuillet, Romain Gy, Hugo Kuchel, Tamara Lipszyc, Nans Mérieux, Théâtre Olympia-CDN de Tours, du 3 au 13 novembre 2021.

Tournée 2021
CDN- Théâtre national de Bordeaux Aquitaine, du 1re au 4 décembre

Tournée 2023
— Le Méta-CDN de Poitiers,24 janvier
— Maison de la culture de Bourges, scène nationale, les 4 et 5 février
— L’Atelier à spectacle – SCIN Art et Création de l’agglo du pays de Dreux à Vernouillet, le 9 février
— Le Montfort Théâtre, Paris, du 8 au 18 mars

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